Après le GR20 et le tour des Annapurna, le W treck est une formalité. Pas beaucoup de difficultés au programme à part une ou deux grosses montées. En plus, comme il y a beaucoup d’aller retour à faire, on peut s’arranger pour laisser ses sacs au campement une bonne partie du trajet.
Des conditions climatiques difficiles
Le tracé de la randonnée
Bien pratique dans les montées et les descentes. En revanche, les conditions climatiques sont moins sympathiques : pluies, forts vents et températures négatives vont pimenter notre randonnée. On n’est pas en Patagonie pour rien.De bons vêtements techniques sont donc indispensables. L’avantage de ce parcours est que l’on peut alterner camping et refuge, histoire de dormir au chaud et de pouvoir prendre une douche chaude un soir sur deux.
Jour 1 : d’Administration au refuge Pehoé
Durée : 6h
Pour cette première journée, la météo nous gâte avec des rafales de vent à plus de 90 kilomètres par heure. D’autant plus embêtant que la première partie est entièrement à découvert. Le vent est si fort qu’il nous fait parfois reculer. A tel point que l’on hésite à revenir en arrière. Heureusement, dans l’après-midi le vent se calme et l’on arrive au refuge Péhoé avant qu’il se mette à pleuvoir.
Pour cette première journée, la météo nous gâte avec des rafales de vent à plus de 90 kilomètres par heure. D’autant plus embêtant que la première partie est entièrement à découvert. Le vent est si fort qu’il nous fait parfois reculer. A tel point que l’on hésite à revenir en arrière. Heureusement, dans l’après-midi le vent se calme et l’on arrive au refuge Péhoé avant qu’il se mette à pleuvoir.
Jour 2 : du refuge Pehoé au campement italien
Durée : 8h
On a bien fait de dormir au refuge. Il a plu toute la nuit et le vent a déchiré de nombreuses tentes. Dans la salle commune, on trouve de pauvres randonneurs en train de tenter de faire sécher leur sac de couchage. On est bien content d’être resté au sec. D’autant qu’on apprendra plus tard que les souris étaient aussi de la partie. Certaines sont mêmes rentrées à l’intérieur des tentes pour manger la nourriture. On commence quand même la randonnée sous la pluie. En début d’après-midi le temps se lève. Le moment idéal pour profiter d’une magnifique vue sur le glacier Grey.
On a bien fait de dormir au refuge. Il a plu toute la nuit et le vent a déchiré de nombreuses tentes. Dans la salle commune, on trouve de pauvres randonneurs en train de tenter de faire sécher leur sac de couchage. On est bien content d’être resté au sec. D’autant qu’on apprendra plus tard que les souris étaient aussi de la partie. Certaines sont mêmes rentrées à l’intérieur des tentes pour manger la nourriture. On commence quand même la randonnée sous la pluie. En début d’après-midi le temps se lève. Le moment idéal pour profiter d’une magnifique vue sur le glacier Grey.
Ensuite, on redescend tranquillement vers le camp Italiano. Bonne nouvelle, il est bien protégé dans la forêt. Pas de risque que le vent emporte notre tente. On place toute notre bouffe en haut d’un arbre pour éviter les souris. Un homme averti en vaut deux !
Jour 3 : du campement italien au refuge Los Cuernos
Durée : 6h
On commence par l’ascension vers la vallée des Français. Cette fois-ci, pas de chance, le temps restera couvert toute la journée. Du coup, on rate l’une des plus beaux paysages du treck… On peut quand même profiter d’une belle vue sur les lacs de la zone. On redescend tranquillement vers le refuge Los Cuernos.
On commence par l’ascension vers la vallée des Français. Cette fois-ci, pas de chance, le temps restera couvert toute la journée. Du coup, on rate l’une des plus beaux paysages du treck… On peut quand même profiter d’une belle vue sur les lacs de la zone. On redescend tranquillement vers le refuge Los Cuernos.
Jour 4 : de Los Cuernos au campement de basse Torres del Paine
Durée : 5h (+ 2h pour l’aller retour vers le mirador)
La plus éprouvante puisqu’il faut monter jusqu’à Torres del Paine avec tous nos sacs. Cela reste néanmoins abordable. Comme il fait beau et que l’on arrive tôt au camp de basse, on décide d’aller jusqu’au mirador de Torres del Paine aujourd’hui au cas où il pleuve demain. L’endroit est vraiment enchanteur. On redescend au camp de basse. Il fait si froid qu’après manger on va directement dans nos sacs de couchage. Il n’est alors que 19 heures du soir ! Cette nuit- là, il fera jusqu’à -10 degrés.
La plus éprouvante puisqu’il faut monter jusqu’à Torres del Paine avec tous nos sacs. Cela reste néanmoins abordable. Comme il fait beau et que l’on arrive tôt au camp de basse, on décide d’aller jusqu’au mirador de Torres del Paine aujourd’hui au cas où il pleuve demain. L’endroit est vraiment enchanteur. On redescend au camp de basse. Il fait si froid qu’après manger on va directement dans nos sacs de couchage. Il n’est alors que 19 heures du soir ! Cette nuit- là, il fera jusqu’à -10 degrés.
Jour 5 : du campement de basse Torres del Paine à hôtel Torres del Paine
Durée : 3h30
Irina est courageuse est se lève à 6 heure du matin pour aller admirer le lever de soleil sur Torres del Paine. Moi, vu qu’il fait -5 degrés dehors et qu’on y est déjà allé hier, je préfère rester tranquillement au chaud dans mon sac de couchage. Une fois Irina revenue, on débute la longue descente vers l’hôtel Las Torres où l’on peut récupérer des navettes pour Puerto Natales. Une formalité après ces quatre jours de marche !
Irina est courageuse est se lève à 6 heure du matin pour aller admirer le lever de soleil sur Torres del Paine. Moi, vu qu’il fait -5 degrés dehors et qu’on y est déjà allé hier, je préfère rester tranquillement au chaud dans mon sac de couchage. Une fois Irina revenue, on débute la longue descente vers l’hôtel Las Torres où l’on peut récupérer des navettes pour Puerto Natales. Une formalité après ces quatre jours de marche !
Plus de photos ? Suffit de cliquer sur le diaporama de Torres del Paine.
