Au départ, nous voulions prendre le train pour découvrir le Rajasthan mais nous avons finalement opté pour la facilité en passant par une agence. Cette dernière nous fournissait un chauffeur et toutes nos nuits d’hôtels bouqués à l’avance. Le tout pour un prix plutôt riquiqui. Autant dire que nous avons était plus que séduits. On est donc parti pour un circuit de treize jours avec au programme : Mandawa, Bikaner, Jaisalmer, Jodhpur, Ranakpur, Udaipur, Puskhar, Jaipur et Agra.
Prince et Princesse
Il faut bien avouer que se laisser guider, cela a du bon. Surtout dans la furie de l’Inde. On enchaine donc palais, forteresses, mausolées et temples à grande vitesse et dans la plus grande décontraction. On n’aurait clairement pas pu visiter autant si l’on avait choisi de faire cela par nous même. L’ambiance est telle que l’on finirait presque par se prendre pour un Prince et une Princesse ! Jaisalmer, avec son fort aux allures de château de sable, Jodhpur, avec sa citadelle impénétrable, et Jaipur, avec son palais flottant, composent le trio de tête des villes qui nous ont le plus plu.
Embouteillage !
Sur la route, on croisse dromadaires, éléphants et les incontournables vaches. Certaines se posent tranquillement en plein milieu de la route pour faire une petite sieste. Pour reprendre un « célèbre penseur » français, quand il y en une ça va mais quand il y en plusieurs… ça devient plus compliqué.
Le meilleur pour la fin
On finit par Agra et le Taj Mahal. C’est de loin le bâtiment le plus beau que l’on ai vu depuis le début de ce tour du monde. Sa taille (55 mètres de large pour 55 mètres de hauteur) contraste avec la finesse des sculptures et des pierres utilisées. La couleur du marbre qui change avec la lumière du soleil rajoute à son côté mystérieux. Bref, on reste sans voix devant ce magnifique mausolée. Par contre, pour le côté romantique, ce n’est pas tout à fait ça. La masse de touristes casse un peu l’ambiance. On s’était levé super tôt pour arriver pour le lever du soleil mais c’était déjà plein. Il faut croire que l’on n’est pas si original que cela…