L’île de Pâques fait partie de ces endroits que l’on connaît sans l’avoir jamais visité. Du moins, on le pense car les photos ou les vidéos n’arrivent pas à traduire l’atmosphère. Pour une fois, la réalité dépasse le rêve. Cela restera sans aucun doute un des moments forts de notre tour du monde.
Une île mystérieuse et paisible
Pour commencer, petit rappel. L’île de Pâques est la zone la plus isolée au monde. Les côtes chiliennes se trouvent à quelques 3 700 kilomètres et Tahiti à plus de 4 050 kilomètres. Elle ne fait que 166 kilomètres carrés et seulement 5 000 personnes y habitent. Ajouter à cela, une grande civilisation disparue et des colosses de pierres disséminés un peu partout, vous obtenez un endroit à la fois mystérieux et paisible.
On y passe une semaine. Le temps idéal pour visiter l’île sans se presser. On a pu faire deux petites randonnées à pieds, une excursion en scooter, une balade à cheval et un peu de plage. On commence par l’ascension du volcan Rano Kau. La vue sur l’océan est magnifique et la visite du village Orongo très intéressante.
On y passe une semaine. Le temps idéal pour visiter l’île sans se presser. On a pu faire deux petites randonnées à pieds, une excursion en scooter, une balade à cheval et un peu de plage. On commence par l’ascension du volcan Rano Kau. La vue sur l’océan est magnifique et la visite du village Orongo très intéressante.
Les moaï : des géants au cœur tendre
Le troisième jour, on loue un scooter pour la journée. On part à la découverte de la côte Est. C’est là où il y a le plus de moaï. On en compte au total près de 900 mais il n’y en a plus qu’une petite quarantaine aujourd’hui debout. Les moaï représentent des ancêtres devenus des divinités. Ils sont vraiment impressionnants : ils mesurent en moyenne 4 mètres de haut. Le plus grand fait même 9 mètres !
Comme on ne peut pas dater la taille de la pierre, personne ne sait exactement quand elles ont été construites, ni pour quelles raisons précises. Et même s’ils sont figés dans la pierre, on a parfois l’impression qu’ils vous regardent où qu’ils attendent que vous fassiez quelque chose pour les libérer. Ce qui rajoute encore plus mystère. Se retrouver face à eux est vraiment extraordinaire.
A cheval !
Pour notre dernier jour, on s’offre une balade à cheval. Par chance, on arrive à pouvoir le faire sans guide. On va pouvoir visiter le centre de l’île tout seul. On est aux anges. Les choses commencent pourtant plutôt mal. En quittant le centre ville, des chiens sauvages attaquent nos chevaux. Paniqués, ils partent au galop. On arrive à semer les chiens mais Irina n’arrive plus à arrêter son cheval. Du coup, on se retrouve dans le jardin de quelqu’un.
Après avoir repris nos esprits, on repart sur la route. Heureusement, cela ne sera que notre seul incident. On peut maintenant profiter de notre balade. On a l’impression d’être les seuls sur l’île. C’est vraiment agréable et les vues depuis le volcan Terevaka sont à couper le souffle ! Les chevaux sauvages sont la cerise sur le gâteau. On finit notre balade par une petite baignade. Et on peut vous le dire, arriver à la plage à cheval : c’est carrément la classe !
Pour mieux découvrir cette île envoûtante, jetez un coup d’œil sur notre diaporama.
Pour mieux découvrir cette île envoûtante, jetez un coup d’œil sur notre diaporama.