Après plusieurs mois de préparation intensive, on pensait avoir tout prévu : visas, billets d’avions, sac à dos. Levés aux aurores pour prendre l’avion, nous étions donc confiants. Il aura pourtant fallu seulement quelques secondes pour nous faire déchanter. On s’est retrouvé coincé dans l’ascenseur de Sébastien qui nous avait hébergés pour la nuit. Tout ça, moins de trois heures avant le départ de notre avion. Bien sûr, pas de réseau à l’intérieur de l’ascenseur. Heureusement, notre hôte a entendu nos cris de détresse et est venu nous sauver. Seb, je n’oublie quand même pas que ta première réaction aura été de rire… Il y aura vengeance !
Taxi !
On en rigole maintenant mais, sur le moment, on ne faisait pas les malins. Il aura tout de même fallu attendre une bonne heure que le technicien arrive. Résultat, 62 euros de taxis (pas prévu dans le budget) et un trajet Paris-aéroport Charles de Gaule réalisé en seulement 32 minutes. Heureusement, le chauffeur a joué le jeu et a appuyé sur le champignon. L’histoire se finit donc bien puisque nous avons réussi, à deux minutes près, à enregistrer nos bagages et prendre l’avion pour Helsinki.
La cathédrale d’Helsinki, emblème de la ville
La cathédrale luthérienne est la principale attraction de cette ville pas très « spectaculaire ». Une après-midi suffit amplement à en faire le tour. Après cette visite rapide, on fonce vers notre superbe bateau, le Princesse Maria, direction la Russie. Nous sommes maintenant à Saint Petersburg, mais ça c’est une autre histoire…
